dimanche 23 septembre 2012

F1 2013 : Transferts, calendrier, règlements

vendredi 30 décembre 2011

F1-Chronicles fait peau neuve!


Lorsque j'ai lancé F1 Chronicles à la fin de la saison 2010, je ne pensais sincèrement pas m'y tenir très longtemps, je dois bien l'avouer. Pourtant au fil des mois, les chroniques se sont succédées et de nouvelles rubriques sont venues étoffer le contenu éditorial du blog. Et puis il y a eu le partenariat avec le site fan-f1.com, ce qui m'a un peu plus obligé à me mettre derrière mon clavier chaque semaine pour vous proposer un nouvel article.

Après une première saison complète, passée à se chercher un peu, à essayer des choses, F1 Chronicles passe la vitesse supérieur à l'approche du prochain championnat et vous propose un tout nouveau look. Mais le changement de design, et d'adresse, ne sont pas les seules choses qui vont évoluer en 2012. En effet de nouveaux rendez-vous vous serons proposé avec l'arrivée du premier Grand Prix de la saison, et même un peu avant. Mais je vous en reparlerai le moment venu.

Définitivement tourné vers un contenu de type magazine, F1-Chronicles (avec un "-"), se veut un complément aux sites d'informations qui ne manquent pas sur le web. J'espère que vous apprécierez ce nouveau décors et que vous serez de plus en plus nombreux à venir lire et surtout commenter les articles de ce site, le tout dans la joie et la bonne humeur, bien entendu.

Avec un peu d'avance je vous souhaite d'ores et déjà une bonne année 2012 et surtout une belle saison de Formule 1, avec F1-Chronicles, évidemment...

PS: Vous pouvez également suivre F1-Chronicles sur Twitter ainsi que sur la page Facebook, et même sur Google+.

Benoît Fraikin

mardi 13 décembre 2011

Räikkönen, mon héros!

Autant vous prévenir tout de suite, cette semaine j’ai décidé de mettre mon objectivité au placard. Ou plus précisément, je lui ais octroyé quelques vacances au soleil. Ainsi, alors que mes précédentes chroniques sentaient bon l’analyse fine, argumentée et pleines de bonne fois…, celle de cette semaine versera dans la subjectivité la plus totale.

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mardi 29 novembre 2011

La semaine mytho de Rubens Barrichello

Ce week-end, Rubens Barrichello a peut-être participé au dernier Grand Prix de sa carrière. Après 19 saisons, le Brésilien pourrait ne pas être au départ en mars prochain. La chronique Pitstop a décidé de lui rendre hommage de manière décalée et vous propose la semaine mytho de Rubens Barrichello.

Lundi

Dans une semaine, je ne serais peut-être plus pilote de Formule 1. Lundi, je me lève tôt pour conduire mes enfants à l’école. Mais avant, je prépare le petit déjeuner. « Papa, on y va ? On va être en retard, » me dit mon fils. En bon père je le rassure « Mais non, ne t’en fais pas, tu oublies que papa est pilote on ne sera pas en retard. A ce propos tu as bien fait ton devoir de math ? »

Lundi, je profite de mon temps libre sans me prendre la tête et découvre les joies du pilote en retraite avant l’heure. Bref, lundi je glande et j’avoue que j’aime ça.

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dimanche 27 novembre 2011

Interlagos - Les clés du Grand Prix

C'est désormais une habitude, avant chaque Grand Prix, F1 Chronicles pointe ce qu'il faudra surveiller pendant la course. Voici donc les clés du Grand Prix du Brésil 2011.
La dernière chance de Mark Webber

Mark Webber n’a pas encore gagné cette saison. Ce Grand Prix du Brésil est donc sa dernière chance de monter sur la plus haute marche du podium en 2011. Sa deuxième place sur la grille le met en bonne position pour espérer battre Sebastian Vettel cette après-midi.

L’Australien s’est souvent montré rapide sur ce circuit par le passé. En 2003 il avait placé sa modeste Jaguar sur la deuxième ligne de la grille, en troisième position et avait remporté l’épreuve en 2009. L’année dernière il avait dû se contenter de la deuxième place derrière Sebastian Vettel. Tout semble en place pour permettre à Webber de jouer la gagne aujourd’hui. Mais pour ce faire il faudra déjà prendre un bon départ, ce qui n’a pas toujours été le cas depuis Melbourne…


Tour d'honneur pour Barrichello?

Aujourd’hui, Rubens Barrichello prendra le départ de son 326ème et peut-être dernier Grand Prix en Formule 1. A l’heure actuelle, personne ne sait de quoi l’avenir du sympathique pilote brésilien sera fait. Cette situation est un peu triste tant Rubens Barrichello mériterait des adieux dignes de ce nom de la part du paddock si cette course devait effectivement être sa dernière au volant d’une F1.

Quoi qu’il en soit, ce sera peut-être sur la piste que Barrichello s’offrira les adieux dont il rêve. Qualifié à une très belle 12ème position sur la grille de départ, le vieux briscard pourrait jouer les points cette après-midi, à condition que la chance, qui lui a souvent fait défaut ici, lui sourie. C’est le moins qu’elle puisse faire…

Duel pour la dixième place

Lors des derniers Grand Prix, on a évoqué la bataille opposant Force India, Toro Rosso et Sauber pour le gain de la sixième place au championnat des constructeurs. Aujourd'hui, cette sixième position semble acquise par Force India, même si les deux autres équipes peuvent encore, mathématiquement, y prétendre. Mais ce ne sera pas le seul enjeu dans la deuxième moitié du classement. La 10ème place n'est pas encore totalement jouée non plus. Avant le départ, c'est Team Lotus qui occupe cette dixième position devant HRT et Virgin (comme l'an dernier, grâce à ses trois 13ème places à l'arrivée (deux pour Trulli et une pour Kovalainen). Concrètement, il faudra donc que HRT ou Virgin place une voiture en 12ème place sous le drapeau à damiers pour priver l'équipe de Tony Fernandes d'un petit bonus financier non négligeable. Et avec la pluie qui devrait être de la partie, rien n'est joué et tout est possible sur le tracé d'Interlagos.

La pluie

Outre la piste, il faudra garder un œil sur le ciel cette après-midi. La pluie est en effet attendue au dessus de l’Autodromo Carlos Pace. Certains pilotes pourraient avoir opté pour des réglages plus orienté pour ces conditions humides et pourraient donc tirer leur épingle du jeu aujourd’hui. On pense, par exemple, à Michael Schumacher qui s’élancer depuis la dixième position. Seule certitude, s’il pleut cette après-midi, le suspense sera au rendez-vous et l’issue de ce dernier Grand Prix sera plus qu’incertaine. Une belle façon de clôturer cette saison de Formule 1.

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mardi 22 novembre 2011

La tentation du come-back

L’actualité de cette fin de saison 2011 est marquée par le possible retour de Kimi Räikkönen au sein de l’écurie Williams. Après deux ans passés sur les spéciales du rallye mondial, le Finlandais semble avoir fait le tour de la question et souhaiterait revenir à ses premières amours. «Racing, competing, is in my blood,» disait Ayrton Senna. Cette phrase est valable pour tous les grands champions qui, un jour ou l'autre, ont ressentit cette tentation de revenir après avoir raccroché leur casque.

Son casque, Mario Andretti ne l'avait pas vraiment raccroché lorsqu'il effectua son come-back en 1982. A l’époque le pilote américain a trouvé refuge aux Etats-Unis, dans le championnat CART, et s’était juré de ne jamais revenir en Europe et encore moins en F1, mais la proposition faite par Ferrari ne pouvait être refusée.

La Scuderia vit en effet des moments difficiles. La 126 C2 est la monoplace la plus rapide mais le duel entre ses deux pilotes – Villeneuve et Pironi – tourne au vinaigre avec comme point culminant le Grand Prix d’Imola. On connait la suite. Villeneuve perdra la vie à Zolder tandis que Pironi se blessera lors d’un accident sur le circuit d’Hockenheim. Si pendant 2 courses, seul Patrick Tambay, remplaçant de Villeneuve, a été le seul à défendre les couleurs de la Scuderia, il faut que les deux voitures de l’équipe soient alignées pour Monza. C’est là qu’intervient Mario Andretti qui reprend du service pour le cheval cabré 10 ans après avoir quitté l’équipe.

Retour réussi puisqu’il signe la pole position d’entrée. En course, l’Américain sera moins chanceux puisqu’il devra se contenter de la troisième marche du podium. A Las Vegas, le vieux se qualifie une nouvelle fois devant Tambay mais doit abandonner en course. Ce sera son dernier Grand Prix en F1, la Scuderia ayant opté pour le duo Arnoux-Tambay pour la saison suivante.

Nigel Mansell s'était lui aussi réfugié au pays de l'oncle Sam au terme de la saison 92, année de son sacre. Mais la mort de Senna à Imola en 94, avait laissé la F1 orpheline et Ecclestone souhaitait le retour d'une star. Chez Williams c'est d'un remplaçant au champion brésilien qu'on avait besoin, Franck Williams jugeant David Coulthard encore un peu tendre. C'est ainsi que le Lion fit son retour sur les grilles de F1 à l'occasion du Grand Prix de France, dans l'équipe qui l'avait presque mis à la porte 2 ans plutôt. Pour sa première course au volant de la FW14, Mansell se voit coiffé sur le fil par Damon Hill pour le gain de la pole position. Malheureusement le champion 92 sera contraint à l'abandon le lendemain. Mansell reprendra encore le volant de la Williams lors des trois dernières manches de la saison. Il abandonne à Jerez, qui accueille le GP d'Europe et termine 4ème au Japon. Il clôturera le championnat sur une note positive en signant la pole et la victoire lors de la dernière manche disputée sur le tracé urbain d'Adélaïde, au terme d'un duel d'anthologie avec Berger. A 41 ans, Nigel prouvait qu'il était encore capable de tenir la dragée haute aux autres pilotes du plateau.

Il est donc presque logique de le voir de nouveau de la partie la saison suivante. Mais contre toute attente c'est chez McLaren que le sémillant Britannique trouve refuge après avoir été mis à l'écart par Williams. L'association entre Mansell et McLaren sera un échec et tournera rapidement court. Absent lors des deux premières courses de la saison parce qu'il ne parvenait pas à entrer dans le cockpit étroit de la MP4/10B, Mansell fait ses débuts à Imola où il se qualifie à plus d'une seconde de Mika Hakkinen. Le dimanche il ne peut faire mieux qu'une 10ème place. Pour le Grand Prix suivant, à Barcelone, Nigel n'est plus qu'à 1 dixième de son équipier au terme des qualifications, mais sa course sera écourtée par une sortie de piste. Il n'en faut pas plus à Ron Dennis pour remercier son pilote. Mansell reprendra le volant d'une Jordan en 96 lors d'une séance d'essais, sans lendemain.

Si Mansell avait mis un terme à sa carrière fin 92, c’est en partie à cause de l’arrivée d’Alain Prost dans l’écurie anglaise l’année suivante. Le moustachu n’avait pas gardé de très bons souvenirs de sa précédente collaboration avec le professeur chez Ferrari en 1990. Ferrari qui avait remercié Prost avant la fin du championnat 91. La direction de l’écurie italienne n’avait pas apprécié les propos d’Alain Prost lors du Grand Prix du Japon, le pilote estimant qu’un conducteur de camion n’aurait pas pu faire mieux que lui au volant de cette voiture.

Les rumeurs vont alors bon train autour de l’avenir du triple champion du monde que l’on cite chez Williams à la place de Mansell qui retournerait chez Ferrari. En réalité, Prost envisagera d’aller chez Ligier mais souhaite plus qu’un statu de pilote. Malgré des essais encourageants réalisés au volant de la JS37, l’affaire ne se conclura pas et Prost prendra une année sabbatique avant de rejoindre Williams en 93.

Le retour du Français à la compétition sera un succès. Au volant de la meilleure voiture du plateau, Prost signe d’emblée la pole position en Afrique du Sud. Le lendemain, il remporte l’épreuve devant Ayrton Senna. En fin de saison, Prost décroche son 4ème titre mondial et décide de raccrocher son casque malgré un contrat le liant à l’équipe anglaise pour 1994. Comme pour Mansell un an plus tôt, l’arrivée de son grand rival, Ayrton Senna, ne plait guère au Français qui décide de se retirer.

Le quadruple champion du monde reviendra en F1 quelques années plus tard, mais dans le rôle du patron d’écurie, ayant finalement réussi à racheter Ligier, mais le succès ne sera pas au rendez-vous et Prost GP mettra la clé sous la porte lors de la saison 2001.

Le rôle de patron d’équipe est quelque chose que Niki Lauda expérimentera également, chez Jaguar, mais la réussite ne sera pas non plus de la partie. En revanche, son come-back, ou plutôt ses come-back ont été plus que concluants.
En 1976, tout semble réussir au pilote autrichien qui enlève 5 Grands Prix sur les 9 premiers du championnat. Victoires auxquelles s’ajoutent 3 podiums. Lauda semble se diriger vers un deuxième titre consécutif avec la Scuderia Ferrari, mais la 10ème épreuve du championnat en décidera autrement. L’Autrichien est victime d’une violente sortie de piste lors du premier tour et est prisonnier des flammes dans le cockpit de sa Ferrari.

L’état de santé du pilote est sérieux et l’on ne se fait guerre d’illusion sur l’issue de cet accident. Lauda recevra même l’extrême onction. Pourtant, le pilote Ferrari survivra à ses blessures et reprendra même la compétition, après seulement six semaines de convalescence, à l’occasion du Grand Prix d’Italie à Monza. Il terminera 4ème de la course. En fin de saison, au Japon, il peut encore prétendre à la couronne mondiale mais face aux conditions climatiques particulièrement difficiles, Lauda décide de ne pas prendre le départ et laisse le titre à James Hunt.

Après avoir remporté le championnat 77, Lauda quitte Ferrari pour rejoindre Brabham qu’il quittera l’année suivante lors du GP du Canada. Après avoir réalisé quelques tours au volant d’une monoplace revue et corrigée, Lauda annonce à Bernie Ecclestone qu’il n’a plus le cœur à courir et quitte le paddock pour s’occuper de sa compagnie aérienne.

Mais l’appel de la compétition sera plus fort et trois ans après son départ, Lauda remonte dans le cockpit d’une F1. A 33 ans, l’Autrichien effectue son deuxième retour, chez McLaren cette fois. Pour la première course de la saison 1982, disputée à Kyalami, il n’est qualifié que 13ème mais bouclera l’épreuve à la 4ème position, comme à Monza en 75. Le premier succès ne se fera pas attendre puisqu’il s’impose dés le troisième GP de la saison, à Long Beach. Lauda termine le championnat à la 5ème position. La saison 83 sera plus difficile, Lauda ne montant qu’à deux reprises sur le podium. Heureusement la saison suivante sera toute autre. McLaren abandonne le bloc Cosworth pour le V6 TAG-Porsche et les deux pilotes de l’équipe se disputeront le titre jusqu’à la dernière manche de la saison, Lauda prenant finalement le meilleur sur Prost. La saison 85 est décevante pour l’Autrichien qui termine 10ème au classement final avant de renoncer définitivement à la compétition.

D’autres pilotes ont essayé de revenir en F1 après s’être éloignés des paddocks, c’est le cas d’Alan Jones, de Jacques Villeneuve, de Dan Gurney ou même de Jose-Froilan Gonzalez. Le dernier en date est bien sur celui de Michael Schumacher sur lequel la chronique Pitstop est déjà revenue à plusieurs reprises. Kimi Räikkönen rejoindra-t-il la liste de ces pilotes ? La réponse ne devrait plus tarder puisque Williams a annoncé qu’elle dévoilerait son duo de pilotes pour 2012 avant le Brésil qui se disputera le week-end prochain.

Retrouvez désormais une nouvelle chronique, chaque semaine, sur le nouveau site de F1-Chronicles.

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vendredi 18 novembre 2011

F1 2011 - Top/Flop GP d'Abu Dhabi

Pour l'avant dernier Grand Prix, le paddock de la F1 s'est rendu à Abu Dhabi. Comme après chaque manche du championnat, F1 Chronicles distribue les bons et les mauvais points. C'est le Top/Flop du Grand Prix d'Abu Dhabi!


Lewis Hamilton

Le bilan est sensiblement le même que pour le Grand Prix de Corée si ce n'est qu'ici Lewis a manqué la pole de peu avant de signer la victoire le lendemain. On pourra dire que si Vettel n'avait pas eu son problème avec son pneu personne n'aurait été en mesure de le rattraper mais on ne refera pas l'histoire et ce n'est pas certain que le pilote allemand aurait pu résister à la McLaren d'Hamilton qui semblait très à l'aise sur ce circuit depuis le début du week-end. Voilà une victoire qui va faire du bien à Lewis, comme le soulignait Martin Whitmarsh après la course.

Fernando Alonso

L'Espagnol aurait peut-être pu remporter cette course. La victoire s'est jouée dans le deuxième relais lorsque Alonso est resté en piste deux tours de plus qu'Hamilton avant de ravitailler. Ces deux tours n'ont pas été suffisants pour passer devant ni même pour se placer juste derrière la McLaren. Il est clair que la Ferrari est encore un cran en dessous de ses rivales, mais le talent et la hargne d'Alonso permettent à Ferrari de signer une belle deuxième place à l'arrivée.

Rubens Barrichello

Ne serait-ce pas la première fois que le vieux Brésilien se retrouve dans le TOP cette saison? Alors qu'il est de plus en plus certain qu'il ne sera plus là la saison prochaine, Barrichello a réalisé une belle course en s'élançant bon dernier pour terminer 12ème. Le pilote Williams a fait son premier relais avec les pneus les plus durs proposés par Pirelli ce qui lui a permis de remonter jusqu'à la 14ème position avant de passer par les stands. A 39 ans, Rubens Barrichello montre qu'il en a encore sous le pied mais il est aussi peut-être temps de passer à autre chose.

Kamui Kobayashi

Dans les "clés du GP" je pointais Sergio Pérez comme un sérieux candidat aux points en fin de course, avec raison puisqu'il termine 11ème malgré une faute qui lui aura coûté pas mal de temps dans le premier tour. Le point de la dixième place revient à son équipier, Kamui Kobayashi qui s'élançait plus loin sur la grille (16ème). Comme Barrichello, le Japonais a opté pour les pneus primes au départ ce qui lui a permis de remonter jusqu'à cette dixième position finale et de marquer un petit point. Point important qui permet à Sauber de passer devant Toro Rosso pour le gain de la 7ème place qui semble ce que l'équipe suisse peut viser de mieux désormais puisque Force India a marqué 6 nouveaux points à Abu Dhabi et conforte donc sa sixième position au championnat.


Pastor Maldonado

Avec une pénalité de 10 places sur la grille, le Vénézuélien ne pouvait pas vraiment espérer s'élancer en bonne position le dimanche après-midi. 23ème, devant son équipier, il a également choisi les gommes dures pour son premier relais. Sa course n'est pas mauvaise puisqu'il termine 14ème soit 2 positions de moins que Barrichello, mais c'est son comportement en piste qui lui vaut d'être dans le FLOP cette semaine. Déjà réprimandé pour non respect des drapeaux bleus par les stewarts, Maldonado a récidivé avec Webber alors qu'il avait tout le temps de laisser passer l'Australien dans la longue ligne droite du circuit. Pour sa défense, le pilote Williams a expliqué qu'il ne voulait pas perdre trop de temps sur la voiture devant lui mais à jouer des coude avec la Red Bull il en a probablement perdu tout autant que s'il avait simplement levé le pied dans la ligne droite...

Lotus Renault GP

Après les récentes déclarations de Petrov, est-il vraiment nécessaire de taper un peu plus sur l'équipe anglaise? Il est clair que la voiture n'a pas évolué dans le bon sens depuis Melbourne, mais n'est-ce pas aussi le rôle des pilotes de donner des directions de travail? C'est là que l'on se rend compte du vide laissé par l'absence de Kubica qui avait permis à l'écurie Renault d'être bien plus constante en 2010, avec une voiture qui était pourtant, au départ, moins performante que cette R31. Ce point devra être mis dans la balance au moment de choisir un pilote pour 2012 puisqu'il est clair que Kubica ne reviendra pas, du moins pas pour l'ouverture du championnat. La piste Barrichello a été évoquée, pourquoi pas...

Le circuit

Avec Abu Dhabi, Herman Tilke tient surement son plus mauvais circuit, pourtant il en compte déjà pas mal à son actif... Partir d'une feuille blanche pour nous pondre ça, ça tient presque du foutage de gueule. Des changements avaient pourtant été évoqués après le Grand Prix de l'an dernier, mais les bonnes intentions ont finalement été remises au placard. Il n'empêche qu'il serait temps de faire quelques (gros) changements sur cette piste qui est d'un ennui mortel, a commencer par le virage numéro 5 juste avant la longue ligne droite...

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